Jeune esclave juive soumise aux caprices de l'arrogante Lepida Pollia, sa maîtresse, Thea connaît pour la première fois le bonheur dans les bras du gladiateur Arius le Barbare, la nouvelle coqueluche de Rome. Mais leur idylle attise la jalousie de Lepida, qui s'emploie de son mieux à les séparer. Cette dernière ne sera pas le seul obstacle à se présenter sur la route des deux amants. |
Mon avis :
L’histoire de Théa est tout simplement passionnante. D’esclave, elle va atteindre les sommets de l’Empire d’une manière toute à fait crédible. Car c’est ce qui me faisait peur quand j’ai lu la quatrième de couverture, c’est que ce soit une héroïne à qui tout réussit trop bien. Mais pas du tout, c’est dans les larmes et la souffrance que Théa gravira les marches la menant au sommet. Et même là-haut, il faudra qu’elle puise dans sa force de caractère pour ne pas abandonner sa lutte. J’ai adoré ce personnage qui ne s’apitoie jamais sur son sort et qui fait tout pour s’en sortir.
De l’autre côté, on a Arius, touchant dans sa sauvagerie. Lui aussi doit se montrer fort pour survivre à ce qu’il endure mais il le vit différemment de Théa. Alors qu’elle sait rester stoïque, lui se montre plus violent.

Un autre personnage est mis en lumière : Lepida, la maîtresse de Théa. Cette femme, j’ai aimé la haïr, c’est l’une des pires garces que j’ai vu. Son parcours à elle ne démérite pas par rapport à celui des deux autres même si elle a d’autres objectifs et surtout d’autres manières de les atteindre… C’est une méchante, une vraie et elle fait bien plus de ravages que d’autres dont la violence vient de la folie plus que de la manipulation et de la séduction.
Pour terminer, je ne peux dire qu’une chose : c’est génial, lisez le !
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