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samedi 23 janvier 2016

La maitresse de Rome, Kate Quinn


Jeune esclave juive soumise aux caprices de l'arrogante Lepida Pollia, sa maîtresse, Thea connaît pour la première fois le bonheur dans les bras du gladiateur Arius le Barbare, la nouvelle coqueluche de Rome.

Mais leur idylle attise la jalousie de Lepida, qui s'emploie de son mieux à les séparer. Cette dernière ne sera pas le seul obstacle à se présenter sur la route des deux amants.



Mon avis :

Le livre fait malheureusement partie de ceux dont la quatrième de couverture vous révèle une grande partie de l’histoire… Je n'ai donc pas mis le texte en intégralité pour cette chronique. Toutefois, ça ne m’a pas empêchée de l’adorer car si j’ai créé la catégorie « Méga coup de cœur », c’est à cause de lui. Une fois lancée dans la lecture, je n’ai pas pu m’arrêter avant d’avoir lu la dernière page.


L’histoire de Théa est tout simplement passionnante. D’esclave, elle va atteindre les sommets de l’Empire d’une manière toute à fait crédible. Car c’est ce qui me faisait peur quand j’ai lu la quatrième de couverture, c’est que ce soit une héroïne à qui tout réussit trop bien. Mais pas du tout, c’est dans les larmes et la souffrance que Théa gravira les marches la menant au sommet. Et même là-haut, il faudra qu’elle puise dans sa force de caractère pour ne pas abandonner sa lutte. J’ai adoré ce personnage qui ne s’apitoie jamais sur son sort et qui fait tout pour s’en sortir.

De l’autre côté, on a Arius, touchant dans sa sauvagerie. Lui aussi doit se montrer fort pour survivre à ce qu’il endure mais il le vit différemment de Théa. Alors qu’elle sait rester stoïque, lui se montre plus violent.

Je n’ai attendu qu’une seule chose dans cette lecture, c’est qu’ils se retrouvent. Je ne vous dirai rien à ce sujet si ce n’est que je n’ai pas été déçue par les tournants de l’histoire. Comme dit plus haut, rien dans les rebondissements ne m’a paru abusé, j’ai toujours vu la logique de l’enchaînement des événements.

Un autre personnage est mis en lumière : Lepida, la maîtresse de Théa. Cette femme, j’ai aimé la haïr, c’est l’une des pires garces que j’ai vu. Son parcours à elle ne démérite pas par rapport à celui des deux autres même si elle a d’autres objectifs et surtout d’autres manières de les atteindre… C’est une méchante, une vraie et elle fait bien plus de ravages que d’autres dont la violence vient de la folie plus que de la manipulation et de la séduction.


Pour terminer, je ne peux dire qu’une chose : c’est génial, lisez le !



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